MigrantsLeVigan

 

           Le conseil municipal du Vigan au complet a décidé, sur proposition du maire Éric Doulcier, d’accueillir trois familles de réfugiés syriens. Comme avec tous les autres politiciens, il n’y a aucune concertation quant aux souhaits de la population sur cette question, mais rappelons que les élus, quelle que soit la fonction qu’ils occupent, sont là pour s’occuper des affaires de ceux qui les élisent, c’est à dire des Français. 

            Nous rencontrons quotidiennement dans les rues du Vigan des personnes sollicitant les passants pour avoir un peu d’argent. Nous ne parlons pas là des zombies professionnels s’exhibant sans façon et passant leur temps au bistrot, mais de gens déjà âgés et visiblement gênés de se trouver réduits à une mendicité qu’ils ne pratiquent nullement avec la désinvolture propre aux abonnés des services sociaux ; probablement toute une vie de travail, d’impositions et de cotisations ne les a-t-elle pas préparés à cette situation de dénuement et ils ne la méritent pas non plus. De plus, il y a en France 140.000 SDF dont 36.000 enfants. Pas d’argent et de solidarité pour eux ?

            Nous sommes régulièrement informés des détails relatifs à ce flux migratoire qui devient une véritable invasion : subventions secrètes des USA – photos truquées – mensonges organisés par les médias : « beaucoup de femmes et d’enfants parmi eux » alors que les vues d’ensemble montrent une majorité d’hommes jeunes, équipés de téléphones portables à usage international – prétentions et revendications de toutes sorte : hébergement, vêtements, nourriture halal, etc. Surtout, même la télévision confirme que nous sommes bien en guerre sur le territoire national alors que le groupe terroriste « État islamique » précise que des djihadistes sont présents parmi les « réfugiés », l’un de leurs chefs à même été identifié parmi eux. De plus, ce groupe terroriste a annoncé une offensive généralisée contre l’Occident en 2016…

            Notre bassin d’emploi est l’un des plus touchés par la crise, les industries disparaissent, l’agriculture périclite, le chômage augmente sans cesse en même temps que les revenus et les pensions de retraites s’amenuisent. Pas d’argent pour relancer ces activités ou augmenter les pensions. Mais la priorité de l’équipe municipale est de se conformer à cette vague d’aveuglement volontaire sans précédent consistant à accueillir des étrangers dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils auraient dû rester là où ils étaient pour défendre leur patrie. Nous n’avons plus ni travail ni logements, mais nous devons assister des gens n’offrant aucune garantie de contribution à la prospérité de notre pays. Pas d’argent pour venir en aide aux nécessiteux français ?

            Nous voici donc à un moment historique : L’État, les collectivités et les municipalités n’assurent plus leur rôle de régulation, d’entraide et de solidarité envers les citoyens français – ceux qui travaillent et ceux qui sont dans le besoin – mais ils s’empressent d’accueillir à bras ouverts et avec l’argent des contribuables des étrangers dont on sait qu’il se trouve parmi eux des terroristes ouvertement hostiles à notre pays, notre peuple et notre civilisation. Seules trois communes françaises ont exigé de ne recevoir que des réfugiés chrétiens. Nous observons déjà qu’il existe en France, au Vigan comme ailleurs, deux catégories de gens : ceux qui n’ont que des droits et ceux qui ont surtout des devoirs avec leurs quelques droits en sursis. Comment l’équipe municipale pense-t-elle gérer cela ? Si une attaque terroriste provient d’un « réfugié » hébergé au Vigan, la Mairie assumera-t-elle sa responsabilité ?

            Le jour approche où tous ceux qui auront participé à cette aberration suicidaire devront rendre des comptes au peuple. Celui-ci sera d’autant plus déterminé à examiner ces comptes que les malheurs qui l’auront frappé auront été d’une ampleur dont l’avenir très proche sera le témoin. L’équipe municipale élue pour administrer les affaires des Viganais devrait bien réfléchir avant de continuer dans cette voie pavée d’intentions qui nous mènent tout droit à la catastrophe.

 

Daniel Pollett

 

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